En général, les valeurs mobilières génèrent deux types de revenus (les plus-values ainsi que les dividendes) pour son possesseur. Ces valeurs sont souvent soumises à l’impôt. Cet article présente la fiscalité des valeurs mobilières.
Comment s’effectue l’impôt sur les dividendes et valeurs mobilières ?
Actualités économiques à lire dans cet article. Les revenus des actions sont des dividendes. Ces dividendes sont versés par les sociétés en contrepartie de l’investissement de ses actionnaires. Ils sont souvent soumis à des prélèvements pour le règlement des impôts. Généralement, ces prélèvements sont faits à un taux unique de 30 %. (Ce taux unique est composé de l’imposition forfaitaire 12,8 % et des prélèvements sociaux de 17,2%). C’est un mécanisme universel applicable sans exception à tous les contribuables situés en France. Par ailleurs, les contribuables peuvent choisir d’être assujettis à l’impôt sur le revenu. Ce choix est en général fait par ceux qui sont moins riches. Cette option est plus bénéfique, si et seulement si la marge d’imposition du contribuable est inférieure à 30 %. En optant pour ce choix, le contribuable bénéficie d’un abattement de 40 % sur les revenus. Par ailleurs, le prélèvement forfaitaire unique est retenu à la source. Ainsi les actionnaires perçoivent leurs dividendes nets.
Le cas général de l’impôt sur les plus-values
Les plus-values, ce sont des bénéfices tirés de la vente ou de l’achat d’une action. En d’autres termes, lorsque vous procédez à l’achat d’une action et qu’après vous le vendez plus cher, la différence issue de cette translation est nommée : plus-values. L’imposition sur les plus-values est généralement faite conformément au prélèvement forfaitaire unique. Par contre, les plus-values se distinguent des dividendes dans le fait qu’elles ne sont pas retenues à la source.